Skyferia
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

SkyferiaConnexion

Forum RPG de science-fiction

Le forum est actuellement en construction.
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

descriptionCal Ke'er [valide] EmptyCal Ke'er [valide]

more_horiz

    Identité
  • Nom : Cal Ke’er
  • Anciens Comptes :

    Profil


  • Race : Homo Sapiens
  • Sexe :  Homme
  • Âge : 26 ans
  • Planète d'origine : Terra
  • Apparence :  
    Si nous vous disions un Homo Sapiens, 26 ans, cela ne vous suffirait pas ? Non, non, bien sûr, et vous avez bien raison ! Parler de sa taille est la première tâche à laquelle on doit s’atteler. Car si certains hommes sont grands, lui est proprement… Très grand ? Frôlant les deux mètres de haut -1,99 m, pour les plus exigeants-, Cal est large d’épaules. Pas assez pour en faire un bodybuilder nourri aux hormones, mais ses 92 kilos lui donne une carrure plus qu’appréciable au vu des conditions de vie dans lesquelles il a été forcé d’évoluer. Un gaillard plutôt bien bâti donc.
    Mais, face à ce genre de physique me direz vous, qu’en est-il de son visage ? Relativement cohérent pour tout vous dire, le visage salement amoché par une vie sauvage, guère  de place pour l’entretien de sa peau. Nez, pomettes, bouche, un relatif équilibre gâché par cette injustice face aux conditions de vie. Non, ce qui ressort, ce sont ses yeux. Deux yeux bleus, d’un bleu glacial, seul point un peu positif de ce visage et… Pourtant son grand malheur, lui donnant un air plus froid qu’il ne le voudrait en réalité, mais nous y reviendront.
    Brun, vous remarquez qu’il coupe ses cheveux courts, et dans une relative propreté. De la même manière, sa barbe est rasée en permanence, méticuleusement. Maintenant que vous y penser… Il semble bien propre pour un sauvage. Comme s’il accordait une certaine importance à l’hygiène. Non, même une importance primordiale.
    Il semble favoriser avec une tendance net les habits le plus utiles pour survivre dans des milieux rigoureux, on ne peut s’attendre à la voir dans une tenue à la mode, mais plutôt en cuir mal dégrossi… Cependant, il y a une chose bien particulière, une relique, qu’il garde jalousement. D’un blanc maculé de rouge, un tablier. Rien de bien utile me direz-vous, mais cet habit, qu’il ne porte que pour… Travailler, c’est le symbole d’une époque perdue. Nous y reviendrons aussi.
    Sa voix enfin, grave, chaude, parfaitement en accord avec sa carrure. Pas besoin de trop hausser la voix pour qu’on l’entende.
  • Métier : Médecin. Enfin… Avec les moyens du bords.
  • Compétence : Chimiste. Etonnant, je sais.
  • Groupe : Tribus Tewannes.

    Informations


  • Histoire :
    Le Livre. Une existence rythmé par ce livre. Un livre imposant, majestueux, rempli d’images et de textes anciens.
    Enfin… Peut-être faut-il commencer par le commencement, n’est ce pas ? Cal est né il y a 26 ans de cela. Rien ne le destinait à une existence particulièrement original. Fils de chasseur, il avait la santé, la force d’un gamin qu’on élevait à la viande dès le biberon, et le caractère téméraire de son père. Son enfance fut donc rythmé, comme celle de tous les enfants obligés de survivre dans ce genre de… Milieu, par une éducation pour la moins « rustique », malgré le fait d’habiter dans la capitale du clan. Il apprit à se battre, chasser, survivre en milieu hostile, domaines dans lesquels il n’excellait pas, ou n’était pas faible à proprement parler. Sa carrure lui donnait un avantage en force qu’il perdait en discrétion, réduisant considérablement son potentiel pour suivre les traces de son père. Une enfance somme toute « heureuse », pour peu qu’on puisse l’être dans un environnement froid et désertique… Il gardera de cette période une amie, la fille du chef. A peine plus jeune que lui, ils avaient grandi ensemble, et il n’y avait que peu de barrière entre les différentes familles du clan. Comme si la rudesse de l’existence parvenait à tirer des hommes un soupçon de désir d’égalité. Non, sinon, en dehors de la ville, on continuait de se tuer pour un bout de pain, mais laissez moi tenter de positiver !
    Néanmoins, deux éléments furent déterminants à son adolescence. Le premier fut la découverte… Qui a dit « des femmes » ? Qu’il se dénonce ! Non, de l’écriture, talent maitrisé par une toute petite minorité du clan. Par son père ? Mais non, voyons, un chasseur qui ne voyait les anciens écrits que comme des pertes de temps ne pouvait raisonnablement lui apprendre quoi que ce soit à ce sujet. Non, il s’agissait de sa mère. Le tenant de sa mère qui… Enfin bref, on pourrait remonter assez longtemps. Résignée à ne jamais réussir à avoir de second enfant, à fortiori, aucune fille, celle-ci voulut s’assurer que ce don ne serait totalement perdu dans la famille. Simple tradition, sans doute, mais qui allait avoir son importance quelques mois après ses 19 ans.
    Chasser. C’était dans cette optique qu’il s’était levé et harnaché le matin là. Ramener au clan sa part de travail, contribuer à sa survie. C’était là son unique but. Il n’avait pas prévu la tempête. Il était parti trop vite. Il n’avait pas lu dans le ciel comme son père lui avait appris. Mais le Destin mis sur sa route… Une carcasse. Un camion. Bien qu’il ne sache pas réellement la nature de l’engin abandonné, il restait suffisamment de carlingue pour l’abriter. S’asseyant sur ce qu’il pouvait trouvé, il ne lui restait qu’à prier les esprits, leur demander de l’épargner… Sans nourriture, il ne tiendrait pas longtemps. Son regard fut attiré par… Un livre. D’une bonne taille, imposant même, celui-ci laissait voir sur sa couverture une énorme croix rouge. Il l’ouvrit. Et remercia les cours que lui avait donné sa mère. Car bien qu’hésitante, sa lecture parvenait à lui faire comprendre l’usage de l’ouvrage… Les images étaient nombreuses, et, si la langue avait changé en plusieurs siècles, il lui semblait reconnaitre de nombreux mots… D’autres étaient inconnus. Mais qu’importe. A coté, une boite. Blanche, elle aussi. Et une croix rouge, toujours. Un véritable trésor à l’intérieur, car, outre les liquides étranges –et odorants-, une série de lames, courtes et fines, et un tissu étrange, épais, résistant, mais très « doux » au toucher, il y avait… Ce qui ressemblait à de la nourriture. De quoi tenir, le temps qu’on le cherche ou que le temps se calme. Les esprits avaient voulu qu’il soit sauf. Il avait décidé de lui accorder un sursis. Mais il lui avait aussi confié un Livre, et un signe. Oui… Il avait une mission désormais.
    Les esprits du livre semblaient être attachés à… « Hygiène » et « propreté ». Ils expliquaient que les maladies étaient du à des hommes sales et négligés. Rentré en ville, il s’empressa de respecter ces consignes. Et rapidement, barbe et cheveux longs disparurent. Il serait l’homme qui pouvait soigner le clan. Ou il ne serait pas.
    C’était il y a sept ans. Son père mourrut quelques années plus tard, boulotté par ce qu’il avait lui-même tenté de boulotter, forme d’équilibre naturel s’il en est. Il avait eu le temps de décrypter la majorité de l’ouvrage, qui expliquait comment soigner des blessures par balles, lames, écrasement, les fractures, plusieurs opérations chirurgicales d’urgence…  Mais il était conscient que ce qu’il avait trouvé n’était qu’un document parcellaire. Une base de travail qu’il fallait étoffer. Dès qu’il le pouvait, il partait. Tentant de retrouver de nouveaux documents pour compléter celui qu’il avait trouvé. Et à part quelques revues médicales trouvés dans un bâtiment étrange au sud de la ville, et encore, des pages de revues, ses recherches furent infructueuses. Mais il n’allait pas désespérer pour si peu. La mort du chef actuel et l’arrivée de son ami au pouvoir serait peut-être une occasion pour la convaincre de lui donner les moyens de ses ambitions. Les hommes du clan mourraient si souvent, faute de soin… Il y avait tant à faire…
  • Inventaire :
    - Une série de petits couteaux complétant ceux qu’il avait trouvé, forgés spécialement pour sa passion.
    - Des vêtements, solides, ainsi que son tablier de chirurgie, sur lequel l’homme a… Peint une grande croix rouge. Difficile de dire avec quoi, vous ne voulez sans doute pas le savoir.
    - Le Livre, ainsi que quelques ouvrages extrêmement parcellaires trouvés avec.
    - Un couteau, bien plus massifs celui-là, et pas dessiné pour couper un steak.

  • Psychologie :
    Nous avions bien dit que ses yeux étaient une malédiction pour lui. Car cet air froid, presque hautain, n’a rien à voir avec la personnalité de l’homme. Amène, il apprécie la compagnie des gens, considérant ceux-ci comme autant de source d’apprentissage passionnante. Car oui, la principale qualité –défaut…- du bonhomme, c’est bien cette recherche de la connaissance que semble avoir oublié de nombreux hommes de son peuple. Survivre, c’est bien, mais sans la manière, c’est proprement inutile.
    Une nouvelle fois, en opposition totale avec ce que pourrait laisser penser son physique, l’homme possède une certaine… Finesse. Pas une intelligence brute, celle d’un universitaire, mais plutôt celle d’un chercheur naturel, capable de comprendre instinctivement ce qu’il ne peut prouver, couplé à un manque du sens des priorités le poussant à aller plus loin dans ses expériences.
    Tiens, parlons-en. Sens des priorités. Trois mots inconnus de lui. Potentiellement capable de dévaliser les restes d’un bibliothèque si celle-ci était en feu, Cal est parfois le fruit d’obsession rendant son sens de survie à peu près aussi efficace que celui d’une palourde. Obsession qui l’ont conduit plusieurs fois  à se mettre en danger simplement pour vérifier si ses théories étaient exactes.
    Mais son obsession première, c’est celle afférente à sa passion : soigner. Ce but est devenu un sacerdoce pour lui, au point de rendre particulièrement douloureux pour lui le fait de devoir tuer, même pour se défendre. Une forme de déformation professionnelle peu en accord avec sa situation en somme.
  • Affection :
    - La médecine, bien qu’il ne connaisse pas réellement les sens du mot.
    - Son amie, Neydilli
    - Le Livre
    - L’altruisme en général, même s’il a une marge de tolérance importante : à situation désespérée, mesure désespérée.
  • Aversion :
    - Mettre fin à une vie n’est pour lui qu’une nécessité absolue. Tant pour un blessé que pour un ennemi.
    - Non pas l’ignorance, mais la volonté de rester DANS l’ignorance

    Disposition


  • Fuseau Horaire :  GMT+1
  • Disponibilité : Normalement toujours, moins en semaine pour cause de taf 
  • Indisponibilité :

    Comment avez-vous connu LEOSS ? Via Neydilli. What else ?

descriptionCal Ke'er [valide] EmptyRe: Cal Ke'er [valide]

more_horiz
Salut !

Un jeu va donc se former dans les Tribus Tewannes à ce que je vois, ça promet du bon pour la suite. Mais sache cependant que le forum est encore, aujourd'hui, en période de construction et de bêta-test. Tout est à construire, et même lorsque nous aurons terminé la création du forum, le jeu poursuivra la construction de l'univers à travers l'incarnation des personnages.

Je valide ce personnage, bienvenue à toi ! Wink
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
power_settings_newSe connecter pour répondre